Au départ, rien ne nous prédestinait à travailler ensemble.

Supernatifs x Supersmash x Jerôme Masi. Trois univers différents. Trois regards. Trois trajectoires parallèles.

Et pourtant, il a suffit d’une idée pour créer la rencontre.

L’art comme terrain de jeu

Tout a commencé comme une partie amicale : une idée lancée, une balle renvoyée, une inspiration attrapée au vol. Et quoi de plus naturel que de choisir une raquette de ping-pong pour symboliser cet échange ?

Il existe des objets qui dépassent leur simple usage. La raquette, par exemple, incarne le jeu, l’échange, le rebond.

Notre idée était simple : transformer cet objet du quotidien en support artistique. Non pas pour la performance sportive, mais pour célébrer la création.

Chacun a accepté de jouer le jeu : Supersmash, la marque suisse qui réinvente la raquette comme objet hybride, à la frontière entre sport et décoration. Jérôme Masi, artiste lyonnais au style graphique et coloré, dont le trait unique sait donner du sens à chaque surface, même la plus limitée. Et nous, Supernatifs, agence passionnée par la créativité et les connexions, avec l’envie de donner vie à un symbole fort pour notre Social Base Camp.

Le design final : la trace d’une rencontre

De cette rencontre à trois est née une raquette singulière.
Un objet qui dépasse sa fonction première pour devenir un totem créatif, symbole d’échange et de collectif.
À travers ses couleurs et ses formes, on devine l’esprit de campement du Social Base Camp : un lieu où l’on se rassemble, où l’on partage, où chaque élément trouve sa place dans un ensemble plus grand.

‍

Une œuvre collective

Oui, c’est une raquette. Mais c’est surtout le fruit d'une collaboration, un objet qui raconte une histoire : celle d’inconnus qui ont accepté de se faire confiance, de mélanger leurs univers pour créer une oeuvre originale et innatendue.

‍

‍

Pour les collectionneurs, cette édition limitée est disponible chez Supersmash, chez Jérôme Masi et chez nous, Supernatifs. Mais pour nous, l’essentiel est ailleurs : prouver que, parfois, l’art naît tout simplement de la rencontre.

‍